Lula elle est partie.

Ça finira mal.

Month: August, 2011

You’re dead to me.

by lulasaysdotnet

And the dead do not speak. Je ne crois pas aux fantômes.

Family portrait 2.

by lulasaysdotnet

They raised me, but they fucked me up. They fucked me up, but they raised me.

Et je les aime tellement. Et je les déteste. Mais je les aime tellement. Je leur ai rien demandé, mais ils m’ont tout donné, ils m’ont aussi tout pris, et je leur ai tout demandé.
Je chéris des milliers de moments, des secondes, des minutes, des heures, des mois, des années où ils ont été là, où ils ont été formidables; parfois ils me manquent mais ils sont toujours là. Je sais reconnaître leur pas, leur odeur, leur voix, je sais à quelle heure ils se lèvent, je sais ce qu’ils aiment, je sais ce qu’ils n’aiment pas, je les connais par coeur et je ne sais rien d’eux.

Silent dad. Broken mum. Weak brother. Moi je n’sais pas. Dans la famille comme les autres – pourrie, rongée au coeur, mais happily ever after – je demande la fille, mais j’me rappelle pas son nom.

Pioche.

Mais putain, je sais ce que tu manges au petit-déjeuner, je sais que tu ne prends pas de petit-déjeuner, je sais ce que tu prétends manger et le pet’ que tu t’allumes en attendant ton bus et vous pensez sincèrement pouvoir faire encore semblant ? On est les rois du semblant. Ça devrait être ça nôtre nom de famille. Fakers.

Je veux pas savoir ce que c’est vôtre problème. Je peux pas vous aider de toute façon. Et je suis pas là pour ça. Je ne sais pas pour autant pourquoi je suis là, certes.

Sounds like angry teen spirit. En fait, t’es adulte le jour où tu peux vivre sans eux ?

Le fric c’est chic.

by lulasaysdotnet

C’est qu’un rectangle de plastique bleu. C’est que des chiffres sur un relevé bancaire. Ça n’a pas d’odeur. Ça vient, ça repart. Ça part plus que ça vient. Ça manque.
C’est qu’un putain de rectangle de plastique bleu, et j’en dépends. J’ai faim de bonnes choses et j’voudrais partir à la mer. J’peux pas, le rectangle a dit non. Non, tu ne partiras pas, je suis la toute puissance, je suis ton impuissance.

Tamère.

I think i wrote this song.

by lulasaysdotnet

It was in the darkest of my days
When you took my sorrow and you took my pain
And barried them away, you barried them away

And I wish I could lay down beside you
When the day is done
And wake up to your face against the morning sun

But like everything I’ve ever known
you’ll disappear one day
So I’ll spend my whole life hiding my heart away

Ou peut-être que non. Peut-être que…
Peut-être que je pense trop. Sûrement.
Peut-être que j’vais arrêter. Que j’suis en train. Et que j’aime juste cette chanson.

Put another dime in the jukebox Baby.

by lulasaysdotnet

I want a giant lollipop and a fuckin’ big smile.

You’ve come too late, there’s nothing left.

by lulasaysdotnet

Remettre la photo dans le livre, reposer le livre, oublier que j’ai voulu le relire, oublier jusqu’à son existence, oublier cette image.

Tout n’aurait pas dû devenir des mauvais souvenirs. J’aimais ces chansons, ces notes, ces images, ces histoires… Et je les aime toujours. Elles n’ont jamais menti, elles. Et elles n’ont pas changé. Et elles ne sont jamais parties. Seulement comme elles écorchent le coin du coeur, c’est des mauvais souvenirs.

Alors allez vous faire foutre, j’écouterai ce que je veux. Fallait réfléchir avant.

You’ve gone too far, there’s no come back.
Ouais j’suis capable de beaucoup juste pour avoir raison. D’éviter soigneusement les mots que tu voudrais entendre. De me taire. Pas pour te plaire. Pour que tu te taises aussi.

Shut the fuck up.

Et c’est déjà demain.

by lulasaysdotnet

Trop de flotte qui fait l’tapin sur le bord de mes paupières ces derniers jours dernières nuits. Je crois que mes yeux se prennent pour le ciel, faudrait que quelqu’un leur explique. Que non.
Faudrait, je sais pas, que… je sais pas.

Allez, une dernière fois, après j’arrête. Demain j’arrête.

Black bird.

by lulasaysdotnet

Parce-que tu m’as appris à siffler, un matin d’été, et que depuis j’ai pas arrêté.
Parce-qu’il y a toujours ton ombre dans un coin quand j’entends les Beatles.
Parce-que j’étais même pas ta fille mais que quand même.
Parce-que je me rappelle de chaque putain de mot de cette putain de phrase qui m’a arraché les paupières.
Parce-que la dernière fois, je t’ai à peine dit bonjour, et j’suis partie jouer.
Parce-que les larmes de tous ceux que j’aurais jamais cru voir pleurer un jour, parce-que les sanglots de mon père dans mon dos.
Parce-que je te parle et que tu m’entends plus.
Parce-que.

Almost 8 years.

by lulasaysdotnet

And it still hurts in the morning.

And that’s why.

by lulasaysdotnet

Fucking hidden files should stay fucking hidden. I guess i just couldn’t find the ‘delete’ button.